Dans l’infini parfait du cercle, chacun des 16380 points trace une part d’unité, une facette d’harmonie. Ici, la géométrie se pare d’un dégradé subtil des 360° d'un cercle : 4 degrés marquent des lignes de 90 points, 4 autres en portent 89, puis 88, jusqu’à atteindre 4 degrés composés d’un unique point.
Ces variations, méthodiques et précises, dessinent une pulsation visuelle, un mouvement qui semble s’éloigner du centre tout en restant lié à son origine. Chaque ligne, par sa longueur, incarne une décroissance, un voyage ordonné vers le minimalisme, tout en restant dans l'équilibre parfait des 360 degrés.
Ainsi, ce cercle n’est pas qu’une figure immuable : il devient une exploration des proportions, un hommage à la perfection mathématique et à l’infini des possibilités qu’il renferme.